Thomas Gugel est un graphiste et motion designer allemand bourré de talent. La preuve avec cette création « 5h48 – The Reality of Time » réalisée pour la fin de ses études à la University of Applied Sciences of Mainz, et son interprétation de la théorie d’Henri Bergson opposant durée de la conscience et temps scientifique.
Coup de coeur pour Michael Grab : un artiste qui avec de la patience a réussi à maîtriser à la perfection, l’art de faire tenir des pierres avec de l’équilibre et de défier les lois de la physique. Des images incroyables, mais réelles à découvrir en photos et en video ci-dessous.
Jantina Peperkamp est une artiste peintre, réalisant des portraits d’un réalisme incroyable. Le résultat final est établi par l’énergie qui se pose entre l’artiste et le modèle. Jantina Peperkamp se voit plutôt comme une observatrice qui essaie de se reconnaître dans ses modèles pour finalement créer un auto-portrait.
Remy Cayuela a imaginé pour illustrer le clip « I Got U » de Duke Dumont un jeune homme avide de nouvelles aventures depuis chez lui, utilisant un casque imitant la réalité et lui permettant de vivre de fausses expériences. Un clip réussi, tourné comme si nous vivions son aventure à la 1ère personne.
Dans sa série « Perspe », le photographe Gustav Willeit crée un monde parallèle qui, même s’il parait réel, est en fait inventé de toutes pièces. Entre fiction et réalité, il construit ses images en s’inspirant des miroirs et des doubles. Une série de photo à la fois dérangeante et fascinante à découvrir dans l’article.
IllumiRoom est un des derniers projets de Microsoft Research. Le but est ici d’immerger le joueur dans un jeu en scannant la pièce pour pouvoir par la suite projeter des images dans celle-ci afin de dépasser le simple cadre de l’écran. Une idée d’amélioration à découvrir en vidéo dans la suite de l’article.
Les installations de Chris Engman pensées à l’extérieur veut interroger la condition humaine et cherche à questionner la place de l’homme, le but de la vie et le but de notre existence. Avec des manipulations très réussies, le résultat est à découvrir dans divers visuels dans la suite.
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Two young curators contemplate deception through a range of works that question reality
In magic, a blind cut refers to when the illusionist appears to shuffle a deck of cards, but in reality, hasn’t actually shuffled them at all. This sleight-of-hand trick is also the befitting title of the forthcoming exhibition at NYC’s
Marlborough Chelsea gallery, a group show curated by Jonah Freeman and Vera Neykov. Tapping revered Belgian artist Marcel Broodthaers as its thematic anchor, “Blind Cut” explores the concept of deception in regards to identity, authenticity and originality, through his works and others’, each questioning what is real and what is fictional.
After living for decades as a struggling poet, in 1964 Broodthaers set in plaster 50 copies of a compilation of his poems entitled Pense-Bête, and put them on display at Galerie St Laurent. In the catalog for the exhibition, the Surrealist poet boldly stated, “I, too, wondered if I couldn’t sell something and succeed in life…The idea of inventing something insincere finally crossed my mind and I set to work at once.”
Re-framing his poetry as tangible works of art, Broodthaers continued to explore word-object relationships and the meaning of language throughout his short-lived career, often recontextualizing the work of his mentor, Réné Magritte. His diverse oeuvre now spans paintings, sculptural installations, photogrpahy, books and film, but with each medium he muddled the truth in order to expose the truth. “Blind Cut” also looks to another quotation by Broodthaers, which states “A fiction allows us to grasp reality and at the same time that which is veiled by reality.”
A contemporary reflection of this ideology may be found in the work of sculptor
Robert Lazzarini, who poetically distorts the familiar by toying with perception. Interested in phenomenology, Lazzarini uses real materials to create fabricated objects which sharply remind the viewer of their mundane existence.
Showing other introspective artists such as Matt Johnson, Anne Collier, Ed Ruscha and more—as well as works from influential movements like Dada and the radical architecture agency Superstudio—”Blind Cut” looks at a perpetually relevant topic with fresh eyes. In the digital age—one where Twitter verification is a measure of authenticity and bloggers post images without any concern for copyright—questions about identity, originality and reality feel like a natural part of conversation, but Freeman and Neykov have compiled a range of works that make the audience reconsider what they see.
“Blind Cut” opens 19 January 2012 at Marlborough Chelsea and runs through 18 February 2012.
More images of work from the show after the jump
Découverte de l’artiste slovène Miha Artnak avec une idée et un concept universel “There is more than just one reality.”. Détournant les lieux et les objets de notre quotidien, il applique une couche en imaginant une surface cachée. Une série intitulée Layers à découvrir dans la suite.
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Découverte de l’artiste Maxence Parache, un designer spécialisé dans le motion design et le design interactif. Son projet Hyper(reality) se veut proposer une vision alternative de la réalité. Equipé d’un casque et d’un gant, l’utilisateur se plonge dans un environnement 3D.
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